La Colombe de l’arche

Robert Desnos, La Colombe de l’arche

“Maudit !

soit le père de l’épouse

du forgeron qui forgea le fer de la cognée

avec laquelle le bûcheron abattit le chêne dans lequel on sculpta le lit

où fut engendré l’arrière-grand-père

de l’homme qui conduisit la voiture

dans laquelle ta mère

rencontra ton père.”

A mon avis, à première vue, j’ai cru que cet homme était fâché. Mais quand je lis autre fois le poème, je note qu'il y a une relation qui a des problèmes dans la vie du poète. Le poet parle d’une femme dans ce poeme. Mais à première vue je ne le voie pas.

Desnos a dit, “soit le père de l’épouse”. Donc, ce un femme mariée. Mais, après, Desnos conduit le lecteur pour un voyage surréaliste. Il commence avec le forgeron. Je crois que la métaphore est synonyme de relations. Le relation entre deux personnes, spécialement de l'amitié ou du mariage, peut être profonde. Les deux s'aident et s'améliorent. Mais, si le relation n'est pas bien, ça cesse d'être bien.

A la fin, Desnos a parlé de la mère qui a rencontré le père. Desnos dit que le mère de l'épouse ne doit pas rencontrer le père de l'épouse. L' épouse n’est pas née si le parents ne se rencontrent pas. Donc, il maudit la relation du grand-père de la mère, la coup foudre, et la fondation de la relation.

Les relations que nous faisons sont très influentes. Les qualités de ces relations sont le produit de l’investissement que donne chaque personne. A l’autre extrême, si une ne se préoccupe pas ils peuvent finir avec une mauvaise relation.

video version ici https://youtu.be/qsledVUeFjI

Previous
Previous

Plutôt la vie

Next
Next

Le terre est bleue